Monday, September 19, 2005

Manque d'inspiration.

Jsais pas ce que j'ai aujourd'hui.
Aucune inspiration.
Jpourrais vous parler de tous ces parasites du système français qui sont venus chialer pour des congés maladies. Alors qu'avec ma bronchite, jsuis au moins dix fois plus malade qu'eux.
Ou alors de cte gamine qui se fait de toute évidence tabasser par ses parents. Mais qui a trop honte pour l'avouer, même quand je fait sortir ceux-ci.
Et pourquoi pas de ce pauvre gamin de 8 ans qui pèse 25 kilos de trop? Vu ce qu'il bouffe. Je sais pas si il aura encore des dents à son premier infarctus.
A quand un manuel "comment s'occuper de vos enfants ?". Quand on voit certains parents, on se dit que sa lecture devrait être obligatoire pour gagner le droit de faire des enfants.
Une autre fois, peut-être, jvous parlerais de tout ça. Quand l'inspiration sera revenue.
Mais aujourd'hui, vraiment pas d'inspiration pour écrire.
Alors jvais sur yahoo, section afrique et jlis les infos.
Pas besoin de chercher longtemps.
Jtombe sur ça.
Bonne lecture.
Monde de merde.

"Les Zimbabwéens meurent de faim parce qu'ils ne veulent pas manger de riz ou de patates, selon Mugabe

NATIONS UNIES (AP) - Le président zimbabwéen Robert Mugabe a affirmé vendredi que les Zimbabwéens ne meurent pas de faim, mais qu'ils refusent de changer leur régime alimentaire pour manger des patates ou du riz.

Robert Mugabe, mis au ban de la communauté internationale en raison de ses atteintes aux droits de l'homme, a affirmé à l'Associated Press que son peuple est "très, très heureux", bien que les organismes d'aide humanitaires fassent état d'une famine qui touche 4 des 11,6 millions de Zimbabwéens.

"Vous décrivez la situation comme si tout le pays était un cimetière", a répondu le président Mugabe en tenant pour responsable les "années successives de sécheresse", au journaliste qui lui décrivait l'état désespéré de ce pays du sud de l'Afrique.

Le véritable problème réside dans la dépendance au maïs, selon lui, "mais cela ne veut pas dire que nous n'avons rien d'autre à manger: nous avons des tonnes de patates mais les gens ne sont pas des mangeurs de patates... ils ont du riz mais cela ne les attire pas", déplore Robert Mugabe.

Le coût des pommes de terre est largement au-dessus des moyens des gens ordinaires.

Le président a reconnu lui-même au début du mois que le nombre de Zimbabwéens ne pouvant pas se permettre un repas équilibré par jour était passé de 20% en 1995 à 48% en 2003, alors qu'il établissait les buts du Zimbabwe au sein des Objectifs du millénaire des Nations Unies.

Selon une commission parlementaire, il n'y aura pas de saison agricole cette année, même si la sécheresse se termine, car il n'y a ni semences, ni engrais ou pesticides en raison du manque de devises étrangères, ni de carburant pour les tracteurs et les moyens de transports.

Au pouvoir depuis 1979, Robert Mugabe a considérablement durci son régime dans les années 1990, en réprimant une opposition de plus en plus contestataire, puis en confisquant les terres de grands propriétaires agricoles blancs pour les redistribuer à la majorité noire du pays. Mais la plupart de la terre a échu aux proches et aux familles de la classe politique.

Cette campagne violente, au cours de laquelle plusieurs fermiers blancs ont été tués, a contribué à désorganiser l'agriculture zimbabwéenne qui était l'une des premières en Afrique, et permettait au pays de vivre en auto-suffisance. AFP"

Quand jpense qu'on paie des impôts pour que notre pays remplisse les comptes en suisse de connards pareils.
Dommage pour les zimbabwéens qui crèvent de faim.
Y a pas autant de pétrôle chez eux qu'en Irak.